Roman à l’écriture métallique, presque glaciale, des personnages brûlés par le soleil et la passion, une fin toute en ambiguïtés, très cinématographique. »Dans les verres de ses Ray- Ban, les reflets scandaient du plan par plan; la pelouse vert émeraude lissée comme un velours, le Trianon de pierres blanches, la piscine au bas des marches, les fauteuils translucides qui ondulaient dessus , les transats en teck, vides eux aussi, cette suprême désinvolture du luxe quand il confine à la négligence, un climat dans lequel il se retrouvait pleinement. »
A lire en buvant une coupe de champagne!