Un très beau roman écrit à la première personne par une narratrice qui s’est réfugiée à La Hague près de Cherbourg sous l’aile à la fois tutélaire et menaçante d’un phare auquel est liée une histoire de naufrage et de disparition. Elle a perdu l’homme qu’elle aime et elle essaie de se reconstruire tout en recenssant les oisieaux du littoral. Un homme revient sur les lieux d’un drame familial et réveille les vieilles histoires d’ amour et de mort. Au fur et à mesure qu’il va découvrir la vérité sur la disparition des siens, elle va apprendre à aimer à nouveau. Les Déferlantes sont les vagues de cette côte sauvage, ce sont aussi les sentiments éprouvés par les personnages.
A lire en buvant un whisky ou un café.